Le projet de la compagnie
En 2023, Le Tricorne se réveille avec le désir d’un théâtre, point de convergence de disciplines, en introduisant la marionnette dans son processus de création au service d’une œuvre.
Un théâtre qui déplace le spectateur, l’invitant à se découvrir des questionnements sur ce qu’il voit, et ce qu’il est.
En une phrase, encouragé par Spinoza et Camus : Le Théâtre du Tricorne fait un théâtre qui affirme la puissance d’agir et qui imagine Sisyphe heureux.
Un théâtre qui déplace le spectateur, l’invitant à se découvrir des questionnements sur ce qu’il voit, et ce qu’il est.
En une phrase, encouragé par Spinoza et Camus : Le Théâtre du Tricorne fait un théâtre qui affirme la puissance d’agir et qui imagine Sisyphe heureux.
HISTORIQUE
Né en 2006, le projet artistique du Théâtre du Tricorne s’est défini d’abord par un théâtre de la parole où les langues poétiques viennent questionner et mettre en scène la marginalité.
Après avoir monté en 2006, En attendant Godot de Beckett, la première création de la compagnie fut La Cantatrice chauve de Ionesco en 2008 puis Le grand orchestre du Tricorne gueule Rictus en 2010.
Par un choix d’œuvres qui questionnent l’émancipation, le Théâtre du Tricorne affirme sa recherche à faire un théâtre accessible en convoquant le jeu et la musique.
La compagnie à ensuite entrepris la traversée en résonance de vingt-quatre poèmes des Fleurs du mal de Baudelaire avec les Préludes de Chopin en montant 24 Fleurs du Mal en 2012. Puis elle s'est confrontée à la prose âpre et lyrique de Jean Genet en montant Les bonnes en 2014.
De 2015 à 2022, après avoir co-produit, avec l'association TRUC, le récit-concert Shanghaï Karaoké Hôtel, la compagnie marque une pause dans son activité de création et de diffusion.